Enfin un peu d'air ![libre]

Alors que je fais que d'aboyer, j'entends la porte s'ouvrir.
*J'espère que c'est ma maîtresse qui vient me rechercher*
Quand je vois un employer de la fourière arriver le peu de queue que j'ai s'arrête de remuer, mais j'espérer au moins avoir une belle promenade lacher en pleins bois comme j'en rêve depuis petit.

L'employer ouvre la cage, un énorme grincement me scie presque les oreilles. Il me prend et m'attache la laisse, il l'a tient si court que je m'étouffe. Tout d'un coup je suis lacher dans un petit terrain qui à l'air tout de même bien sympathique, et tant que je peut courir tout me vas !
Mais il n'est quand même pas bien grand...

Je me couche avec des yeux pleins de douleurs, j'ai mal au coeur, je veux sortir d'ici. J'espère que quelqu'un peut me rendre ma liberté, me donner tout l'amour dont j'ai besoin. Je pousse quelques hurlements en espérant que quelqu'un de gentil m'entende. Je me lève et fait le tour de l'enclos autant de fois que maintenant je le connais sur le bout des doigts.
Les calins, les biscuits, la bonne nourriture, tout me manque ! Mais surtout de l'amour.....

J'essaye quand même d'enlever tout mon mal être et de m'amuser pour essayer de vivre ce séjour le moins durement possible.
Je court tout en jappant des petits aboiements de gaieté.
Je suis tout de même beaucoup mieux ici que dans cette cage sale, triste, vide et petite.

J'étais couché dans ma cage. Je n'avais pas mangé depuis hier.
Des bruits de pas retentirent dans l'allée. J'espérait voir mes maîtres mais j'apperçut le gros costaud qui m'avait ammené ici. Je me leva d'un coup, montrant les crocs.

-Si tu continu comme ça le grincheux, tu sortiras jamais d'ici!

L'homme ouvrit la porte de la cage et je tenta de le mordre au bras. Il me prit de force mais je me débattit. Que me voulait-il? Il ne m'inspirait aucune confiance.
Puis, il me prit à nouveau par la peau du cou et me souleva pour me sortir de la cage.
Je grognais et bavais mais il ne me lachait pas. Où allais-je?
Etant assez lourd, l'homme marchait bizarrement, me tenant fermemant par la peau du cou et il m'emmena dehors. Il ouvrit la porte d'un enclos, j'avais la gueule ouverte et l'homme me jetta dans l'enclos comme il l'avait fait pour me mettre dans la cage.
Je retomba lourdement et regarda cette brute partir en marmonant.

-J'ai jamais vu un chien aussi débile!

Je m'assis avant de remarquer qu'un autre chien était là.
Je l'observa avec mes grands yeux bleus et aboya pour attirer son attention.

Du petit terrain j'entend vaguement les pas lourds du méchant gardien.
J'ai peur qu'il me ramène dans ma cage humide et froide. Je m'assoies donc dans un coin pour faire me toutou gentil qui lui soterais à la gorge après. Quand soudain un aboiement se fait entendre je me retourne à toute vitesse.

- Salut !!! Je m'appel Crunch et toi ?

Je suis super contant d'avoir un ami, mes yeux s'iluminent, enfin de la compagnie. Je court voir ce nouvel arrivant, il a des yeux qui font rêver, je me plonge dans un regard long avec lui. Je remue mes fesses parce que ma queue est un peu trop petite pour la remuer, ce qui fait apparemment sourir ce chien. Je court dans tout les sens en attente d'un mouvement ou parole de sa part.

Celà me change beaucoup plus les idées d'être avec un congénère, peut être arriverons-nous à devenir bons amis, ça je l'espère ! On est dans la même phase tout les deux, comme d'ailleurs tout les chiens d'ici, abandonner ou perdu, nous sommes tous aussi triste. La douleur monte est je commence à pleurer, à aboyer ainsi qu'à hurler.

-Salut Crunch, moi c'est Illusion!

Ma queue se mit à gigoter. Je bouillonais à l'intérieur. Un copain! Il était pas très grand et il avait une toute petite queue.
Mes yeux pétillaient, je n'étais plus seul dans ce monde de brut.

-Dis donc, le gros tas là-bas, c'est pas un enfant de coeur. Pourquoi tu es ici toi?

Pleins de questions se chamboullaient dans ma tête. Pourquoi tous ces chiens étaient ici. Qu'avions-nous fait?
Je ne comprenais plus rien. Pourquoi nos maitres n'étaient pas là?

Illusion, quel joli nom me dis-je ! C'est pour ça qu'il portait autant de mystère. Celà fait tellment de bien d'avoir un ami, on se sent toujours moins seul.

- Quesque j'aimerais m'en faire un festion de ce gros bipèdes ! Ma maîtresse m'a abandonner, la raison, je ne sais pas, surement trop d'excitation, et toi ?

Je me demande bien comment tous ces chiens sont arrivès ici, quels sont leurs histoires. J'essaye de m'enlever tout ça de ma tête et je bondit sur Illusion en le mordillant gentillement. Ensuite je me mets en position de jeu, un petit salut en jappant de bonheur, et je rebondit ! Jamais je ne mettais autant amuser, et pourtant j'étais enfermer. Quesque j'aimerais trouver une famille, faire de belles balades ! Je pense, enfin non, j'en suis sur, Illusion pense comme moi. Personne ne mérite l'emprisonnement.

Je lui sauta dessus à mon tour puis me baissa en remuant les fesses. Je bougeait dans tous les sens puis je parla en même temps.

-C'était un matin comme les autres, je me suis réveillé dans mon panier, mes maitres étaient au travail, je suis sortit dans le jardin pour me défouler et un chat est apparrut. Je l'ai poursuivit et j'ai sauté la haie du jardin pour le suivre dans la rue, je l'ai perdu de vu et me suis perdu. Je me suis assis sur le trottoir et une camionette est apparut et m'a emmené ici.

Ma langue pendait, j'étais tout excité! Je sauta à gauche, puis à droite, remuant la queue.

Ma langue pendante sur le côté je m'amuse comme un petit ! J'aboie de bonheur, les jeux avec d'autres chiens m'avaient tellement manquer !

- C'est horrible ce qu'il t'est arrivé !

Je m'asseoie, épuiser de tout ces jeux, et je pense, je pense à ma vie d'avant. Mes poils au vent, les yeux fermer, je me rapelle de tout ces bons moments passés, rien n'est meilleur qu'une bonne famille avec de l'amour à donner, j'espère que vais la trouver.

Mais, Illusion me sort de ma tranquilité pour revenir jouer. Plus décider que jamais, j'enlève tous mes soucis pour pouvoir profiter du moment présent. Il faut vivre et profiter, et essayer de ne pas se lamenter sur son sort. C'est ce qu'il m'aider à m'éclater comme un petit fou !

-J'imagine mes maitres quand ils sont rentrés et ne m'ont pas trouvé. C'est qui ces gens? Que nous veulent-ils? Pourquoi ils nous enlève? J'ai tellement de questions sans réponses.

Puis je me dit que je reverrais mais maitres un jour alors je bondis sur Crunch et lui mordilla l'oreille comme un chiot.
J'étais surexcité. Il faisait beau et j'avais un copain de jeux. Que vouloir de plus? A part mes maitres, rien.

- Moi aussi je me demande bien !

Je décide d'oublier complètement mes maîtres, du moins essayer pour pouvoir passer autre chose. Mais je sais une chose, je ne veux plus remettre les pieds dans cette cage. Je me sents tellement seul dedans, ce n'est pas juste ! Pendant que le chat de mon ancienne maison est couché sur le bon canapet douiller, je dois être enfermer dans un endroit miteux et sales. Et voilà, je retombe dans la pénombre et la tristesse, il faut se ressaisir, si non je ne retrouverais jamais de nouveaux propriétaires !

Alors je prends mon élan et je saute sur Illusion, je lui tire la fourrure sans pour autant lui faire mal, la bouche remplie de poil, je vais me rafraichir en mettant mes pattes blanches de le bol d'eau fraîche. Je le fais tomber pour pouvoir me rouler dans la bonne herbe humide, ceci m'amuser beaucoup. S'il pouvait nous laisser constamment ici, ce serait super, mais je sais bien que je vais devoir rentrer dans la cage d'ici peu, mais pour le moment profitons !

Je me laissa faire. De toute façon, je savais que Crunch jouait. Quand il partit vers le bol d'eau, je l'observa.
Qu'allait-il faire? Puis, je le vis le renverser et se rouler dans l'herbe mouillée. Quel fou!
Soudain, je vis le gros costaud arriver. Je devint agressif et montra les dents en grognant.
Mes poils s'herrissèrent et je retroussa mes babines.
L'homme me lanca un regard noir et passa son chemin. Il n'avait pas intérêt à me remettre dans ma cage. Ni Crunch. De toute façon, il allait devoir courir longtemps avant de pouvoir nous rentrer!
Je regarda Crunch se rouler comme un bébé. C'était amusant. Il avait oublier son malheur. Moi je n'arrivais pas à m'y faire. En attendant, je décida de profiter du plein air et je me mis à courir dans l'herbe en faisant des petits bons.

L'homme se rapproche de moi, je fait comme si de rien n'était. Un moment où il aller m'attraper, je bondit et je court dans tout les sens. A force de courir après moi il s'épuise et décide d'employer la manière forte.

Le voyant se progeter sur moi je grogne en aboyant d'une manière très agressive. Mes poils s'hérissent, mes grognements sont de plus en plus fort, si il me touche, c'est décider je le mort. Le gardien penche sa main mon coup et je lui attrape très viollemment tout en tirant.

- Lâche moi sale bête, tu n'es pas prêt de trouver une famille en fesant comme ça ptit gars !

Dit l'homme, lorsque je m'arrête, je continues de courir tout le long de l'enclos, je ne veut en aucun cas rentrer dans cette cage miteuse, mais en vain, il réussit à m'attraper par le cou, je me débattais par mais rien à faire !

- Après c'est à l'autre !

Répète deux fois le gros costaud. Je suis effrayé, je pleure, j'hurle !
Me voilà retourner dans cette cage toute pourrie à mon goût. Mon bol d'eau est vide et pourtant je meurt de soif. Je ne veut surtout pas qu'Illusion se fasse attraper à son tour. C'était vraiment trop beau pour être vrai....

Quand je vis l'homme partir avec Crunch, une colère sans limite s'empara de mon corps et je lui courrut après, sauta par-dessus la clôture et lui mordit les fesses du plus fort que je pouvais.
Le gros hurla, je ne lachais pas prise et impossible pour lui de m'enlever.
Il donnait des coups de main derrière lui mais n'arrivait pas à m'atteindre, je faisais tout mon possible pour qu'il lache mon copain.
Voyant que ça ne marchait pas, je le lacha et me mit devant eux, les crocs en évidence.
L'homme projetta un pied en avant et je lui chopa sa chaussure que je jetta au sol. S'il avance encore, je l'égorge!
Il commit l'irréparable et fit un pas de plus. Cet fois c'était trop, il allait lacher mon copain! Je bondit sur lui et lui attrapa la gorge. Il m'empoigna de l'autre main par la peau du cou pour essayer de m'enlever mais rien n'y faisait. Je le fixait de mes yeux bleus et resserrais mes machoires.

Il ne m'avais pac lacher, j'essayais de partir et de le mordre mais en vain.
Il me lança dans ma cage comme une vulgaire chaussette moisi, d'un coup pied il ferma la porte en se débattant pour enlever Illusion des yeux.
C'était trop tard pour moi, mais j'espérais que lui arrive à s'enfuir ! Je l'encourageais le plus que je pouvais

- Vas-y, tu vas le battre, c'est bien !!

Regardant ce spectacle, ma tristesse prend le dessus, me voilà encore enfermer. J'ai la haine contre cet homme et ma famille !

* Pourquoi m'ont-ils abandonner, y a t-il quelqun pour moi sur cette terre ?*

L'homme me "balaya" d'un coup de bras mais j'étais déterminé et je l'attaqua à une partie beaucoup plus douloureuse! Je pris un élan et le mordit férocement aux parties intimes. Un cri se fit entendre et l'homme tomba à terre. Je pris ça pour un jouet et secoua ma tête dans tous les sens, triturant ainsi ce pauvre homme.
Mes oreilles étaient couchées et je ne lachais pas l'entre jambe du gros balourd.
Malheureusement pour moi, quelqu'un avait été alerté par le bruit et me donna un violent coup de baton sur la tête et m'assoma. Quand je me réveilla, j'étais enfermé et j'avais une muselière.
Seul bon point, j'étais à côté de mon copain. J'étais sonné et voyais trouble. Je resta donc couché pour le moment, essayant de reprendre mes esprits.

- Hey, Hey ! Réveille-toi ! Est-ce-que ça va ?

Je suis très inquiet pour l'état d'Illusion, ce choc n'a pas du être très agréable. En plus ils lui ont mis une sorte de tissus qui accroche la bouche ! Je le plaints sincèrement, ça va que nous sommes à côté, si non j'aurais fait un carnage, non mais !! Tout à coup, j'entend des pas dans la salle, je courts au fond de ma cage, quand soudain je sents la bonne odeur de nourriture, enfin l'heure du repas !!

* Hum, j'espère que c'est du bon Pro plan ! *

Je me lèches déjà les babines, mais mon enthousiasme est vite partit quand je vois de la nourriture bon marcher ! Et de plus le gros costaud tout moche avec ce machin de tissu à la main, allez t-il me le mettre aussi ? Il entre son bras dans ma cage alors en légitime défence je lui morts les doigts très fort, mais malheuresement, avec son autre main ce gros gabari me mets la muselière et va donner la nourriture pour à côté. Voilà, je suis puni aussi de repas !

* Pourquoi ça doit nous arrivez à nous, les chiens !*

(Je crois qu'il faut qu'on dise au revoir à ce sujet et retourner à notre sujet de fourrière)

(Yep! J'ai fait un sujet)

[ répondu ! Very Happy

]

» Enfin oui enfin je peux bouger
» Bon!(libre)
» L'air libre |Libre|