Toujours dans la fourrière

Bakara était toujours dans sa cage. Le pauvre chiot avait vu les visites se succédé au porte de sa cage mais jamais personne n'avait voulut de lui. En effet, qui voudrait d'un chiot plein de puce et de croute. De plus, il ne davait pas sentir la rose car cela faisait un moment qu'il n'avait pas pris de bain. Le jeune berger blanc de suisse était maintenant tout au fond de sa cage, roulé en boule et il grognait dés qu'un humain, employé de la fourière ou non, s'approchait un peu trop près de lui. Bakara bougea et renversa sa gamelle d'eau. Un employé, passant par là, voulut lui en remettre mais Bakara lui montra les crocs et manqua de lui mordre la main. L'employé n'apprécia pas et, prenant un baton, il essaya de toucher Bakara avec mais le chiot s'était mit hors de porté de l'humain et il continuait à grogner.

Invité

La porte métallique, rouillée jusqu’aux gonds, grinça dans un bruit sinistre.
Le son des appelles des chiens se fit plus intenses. Une forte odeur,
dont je ne citerais pas la composition, venait vous envelopper des le seuil.
Un seul geste vous vient alors à l’esprit. Vous mettez votre main, la gauche
ou la droite selon votre humeur (xD), devant votre douche légèrement entre ouverte.
Et tatam vous voila en train d’exprimer un super milk shake d’expression.
Vous osciller entre la stupéfaction, l’horreur et le dégoût.
Maintenant imaginez. Une jeune reporter de 22 ans qui hésite entre partir
de cet endroit et entré pour sauver un chien d’ici. Imaginez Abygail , avec ses longs cheveux
noirs noués en une queue de cheval,avec ses yeux noisettes presque baigner de larme.
C’est bon vous arrivez a vous faire un dessin de la scène ? Ok je passe a autre chose xD

La jeune femme se déplace dans un long couloir. Au dessus de sa tête des lumières jaunes
éclairaient le chemin. A sa gauche et a sa droite, des cages a gros barreaux
contenant un ou deux chiens. Ceux ci, se jettent presque sur les barreaux en aboiyant,
sautant en l’air, remuant la queue, D’autre viennent doucement vers la porte,
se couchent, font les yeux doux en pleurant. Il y en a même qui restent tout au fond,
qui tremblent et n’osent bouger. Alors Abygail s’arrêtait devant chaque un d’eux.
Elle tend la main, se laisse lécher la paume, caresse les museaux, leurs parlent
gentiment. Mais cela ne dure que quelques secondes pas plus, elle n’a pas le temps
d’approfondir les gents tendres. Aby reprend sa route. Dans son sac a dos,
son Reflex Numérique, un bloc note sont près a être sortit pour écrire un
article pour sa revue.Etrangement il n’y a personne a part des chiens.
Elle n’a pas encore vu un seul employé.

Abygail est venu en ce lieu pour adopter un chien. Mais plus elle avance dans se couloir,
plus elle se demande si elle avait raison de venir ici. Elle cherche LE chien, SON futur chien.
A la Fourrière, des chiens il n’y avait que ça, du York au Doberman mais Aby n’avait pas
encore eu de coup de cœur. Elle cherchait encore.
Au fond du couloir, une autre porte s’ouvrit. Celle ci semblait donnée sur le Terrain de
derrière. Un homme entra et passa devant un cage, il se baisa et tendi la main, il le retira aussitot.
Aby' le vit prendre alors un long baton qu'il glissa dans la cage.
C'est alors que la femme entendit le grongnement.L'homme était il en train de martyriser un pauvre chien?!
Elle s’approcha de la cagea grand pas.

"Hey vous la-bas!"

L'employer se leva et le regarda.Avec un haussement d'épaule il lacha le baton et s'en alla.
Arrivant au niveau de la cage, Aby appercut un écriteau en
bois était clouer a la va vite. Il y avait le nom de Bakara graver dessus…
S’agenouillant devant les barreau, Aby jettent un coup d’œil au chien.
Un léger sourire se dessina sur son visage.Mais un sourire triste a la vue de ce pauvre chiot...

« Salut Bonhomme… »

Elle parla d'une voix calme et douce,ne bougea pas, pour voir ce qu'il allait faire.

Bakara entendit une voix qu'il n'avait jamais entendu et son grognement cessa. Mais l'employé n'enleva pas très vite le baton de la cage du berger blanc de suisse. Puis Bakara le vit hausser les épaules et s'éloigner de la cage. Mais il fut vite remplacer par une jeune femme qu'il n'avait jamais vu dans la fourrière: peut être une nouvelle employée. En tout cas, elle semblait beaucoup plus sympas que l'autre de tout à l'heure. Puis il entendit la voix de la jeune femme, une voix douce et calme, qui vous rassure tout de suite. C'est qui décida Bakara à ne aps lui grogner dessus et le chiot de 6 mois s'approcha même doucement des barreaux de la cage, en fixant la jeune femme. Il s'allongea devant la porte de la cage et continua à fixer la femme, sans émettre le moindre bruit, ni pleur ni grognement. Il avait les oreilles basses et sa queue ne faisait pas le moindre mouvement.

Invité

* Comme il est chou !!!*

Le sourire s’étala sur les lèvres d’Abygail. La peine se dissipa peu a peu.
Ce pauvre chiot était dans un état lamentable et cela fendit le cœur de la brunette. Comment pouvait ton laisser une animal dans cet état ?
C’est complètement inhumain !
En le voyant s’approcher doucement, Aby tendit la paume de sa main.
Elle ne la passa pas a travers les barreaux, de peur que le petit interprète mal ce geste inoffensif et tente de la mordre. Aby laissa donc sa main tendu juste derrière les épais barreaux.

Son regard parcourut le corps du jeune berger.
Elle vit les nombreuses croutes qui le recouvrait a des nombreux endroits.
Elle ne pu résister et, oubliant toute prudence, passa la main entre les
barreaux en direction sur petit museau.

Elle l’avançait avec lenteur, tout en continuant a lui parlé calmement.
Aby tourna la tête a gauche et a droite pour voir s’il n’y avait pas
quelqu’un dans les parages. Ce pauvre petit n’avait pas du être sorti
depuis bien longtemps et elle avait dans l’idée de lui faire faire un petit
tour a l’air libre.

Ses yeux se reposaient sur le jeune Bakara.

« Alors p’tit père tu fais quoi dans un endroit pareil hein ?! »

« Qui a bien pu de laisser la.. ? »

Bakara vit la paume de la jeune femme s'approcher de sa cage mais il était tellement fatigué qu'il ne prit même pas la peine de grogner. Mais la main ne pénétra pas dans sa cage et cela fit relever la têten au chiot de 6 mois. La paume était toujours derrière les épais barreaux qui fermait sa cage. Alors qu'il ne s'y attendait pas, la main de la jeune femme finit par entrer dans la cage du jeune chien. Bakara recula et émit un petit couinement mais la main s'immobilisa tout à coup. Il refit les quelques pas qui l'avait éloigné de la jeune femme et lui sentina la main avant de lui donner une petite léchouille. Enfin une main qui ne l'avait pas tapé. Puis il entendit la voix de la jeune femme et il leva les yeux vers elle. Elle semblait vouloir lui dire quelque chose mais le chiot ne comprenait rien et il pencha la tête sur le coté.

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