Toujours ici ( ne demande pas ,, post )

Toujours ici
libre ..


Clymens était toujours prisionier de cette fourrière à chiens. Il fessait comme d'habitude sa routine habituelle, ce lève va boir, mange le peu de nouriture qu'on lui à donner durant la nuit, puis retourne se coucher à attendre qu'on le sorte 5 minutes. Il ne fesait que sa depuis environ 7 mois. 7 mois sans exercices, sans sports quotidien.. Vous pouvez vous immaginer l'énergie qu'il à en lui. De plus il n'était plus le même chien. Un chien qui au début était très complice avec son maitre était devenu un chien fougeux, avec une surdose d'énergie indépensable. Il était rendu un peu '' fou '' dans sa tête, il ne comprenait plus rien, n'écoutait plus rien.

Il attendait couchez sur son coussin ( si ont pouvais encore appeler sa un coussin .. ) Quand soudain une porte s'ouvrit, mais aucune réaction de sa part il était rendu trop habitué à voir les gens entré et resortir avec un autre chien qu'il ne fessait plus rien. Puis les grincements des barreaux de sa cage ce fit entrendre. Il ce leva, et ce fit mettre une laisse autours du cou, croyant qu'il allait dehors il se dirrigea vers la porte d'extérieur, mais un gros tirrement brusque le rammena près du '' garde '' . Clymens était trop éxité avec sa surdose d'énergie il n'écoutait plus et ne resentait rien, il voulait seulement courrir librement.

Ils passairent dans un long couloir, aucun jappement ce fit entendre de l'autre coté de la porte au bout du long couloir. Clymens ne savait aucunement ou ont l'emportait. Arrivé au bout de se long coulloir, il y avait une porte écrit deçu '' Sauvé une vie, dernière chance '' Le garde ouvrit la porte, détacha Clymens et lui dit '' Attend moi la soit sage '' . Clymens entra, il n'y avait aucun chien, aucune cage, rien qu'une salle vide, très froide. Il renifla tout les coins, puis attendit avec impacience que le garde revienne ne comprenant rien de ce qui ce passait.

Clymens était couchez, le calme régnait dans la place. Soudainement il entent les chiens dans l'autre pièce ce mettre a japper. Il savait que c'était la présence de quel qu'un ou quel que chose qui les fessait japper autemps. Il resta coucher la tête sur ses pattes. Il n'y avait aucune fenêtre dans cette pièce et les lumières était fermer alors rien sère de vous dire qu'il fessait totalement noir. Puis finalement de la lumière c'était la lumière de l'autre pièce qui passa par la porte, Clymens pensant que c'était le garde qui l'avait emporté la plutôt leva la tête, mais seulement sa. Puis la lumière s'ouvris complètement et c'était une femme. Une femme seule, il penssait alors que c'était seulement une garde qui travaillait la. Sa queue s'agita puis il ce leva.

La femme s'approchait drolement, pas comme une garde l'aurrait fait. Alors il comprit quelle n'était pas la pour sa. Ne sachant pas qui c'était et pour quels intention il resta un peu méfiant. Puis s'approcha en agitant la queue. Il tournait en rond de tout les cotés autour de la femme, comme un chien heureux même si il ne l'était que pour quels que secondes.

Clymens tournait, et fessait tout en son pouvoir pour essayer que l'humaine l'aime. Même si chaque fois que quel qu'un s'intéressait à lui, il repartait avec un autre chien. Quand il entendit les mots '' viens la '' il se dépêcha d'allez s'assoir devant la femme. Il la regardait dans les yeux puis prit sa main avec son museau pour lui montré sa confiance. Puis il ce remit à tourné autour d'elle. Quand elle lui demanda si il voulait allez dehors c'est orreilles ce leva soudainement et puis il jappa trois fois de suite. Il reconnaisait parfaitement ce mot que son ancien maitre utilisait souvent !

Il ce dépêcha d'allez à la porte attendre l'humaine, mais il ne voulait qu'une chose être libre, pouvoir courrir comme il le voulait et jamais retourné dans cet endroit horrible. D'un coté il aurrait voulu ce sauvé pour être certain de ne jamais se retrouvé dans cet endroit et de l'autre rester avec cette femme qui pourrait le sauvé de cette vie minable.

Clymens s'asseoya elle le grattais derrière les orrielles il aimait vraiment sa ! Il lècha sa joue puis se releva impassiant de resortir de cette pièce froide. Il regarda derrière lui puis la femme s'envenait avec une laisse. Il ce laissa attacher, puis dès qu'il vue une craque dans la porte il ce dépêcha de ce faufiller, puis attendit l'autre coté la jeune femme.

Quand ils sortis du couloir, Clymens tirrait. Ce n'était pas dans ces habitudes mais, il ne voulait pas voir les gardes. Mais finalement en tournant le coin ils tomberent nez à nez avec un des gardes. Le garde avait l'aire assez surpris que la femme ait Clymens avec une laisse faire la porte de sortie. Puis il lui demanda ce quelle fessait avec Clymens attacher à partir vers la porte de sortie.

- Vous faites quoi ? -

Je tenais encore Clymens en main, un des gardes me demande ce que je fais, je le regarde étonné, je n'ai pas le droit de faire connaissance avec Clymens.

-Et bien, on m'a permis de rentrer dans le chenil pour que je puisse trouver mon compagnon, ce chien me plait bien, j'aimerai qu'on puisse se connaitre tous les deux, cette pièce où vous l'avez laissé ne me plait pas pour qu'on fasse plus ample connaissance. C'est pour cela que je sors de ce couloir pour aller dehors du chenil, dans un endroit fermé mais en liberté quand même.

Je me suis mise à frotter la poche de mon pantalon, une balle y était, et dans les poches de ma veste s'y trouvait un petit sachet de biscuits, ils sont réserver pour le chien avec qui je vais faire plus connaissance, dont maintenant Clymens.
Je ne comprends pas pourquoi les gardes m'empêcherais de sortir un peu Clymens, de plus ce pauvre toutou à besoin de sortir, de se dépenser jusqu'à être fatigué d'épuisement, pas de force, mais d'épuisement, comment dire, de bonheur, qu'il se soit épuiser comme un chien heureux de se dépenser.
Je me suis remis en marche pour passer la porte en tirant un peu sur la laisse pour dire à Clymens de me suivre, qu'il ne risque rien, parce que c'est moi qui vais le défendre.

-Aller vient Clymens, on va aller s'amuser un peu en dehors de ce couloir.

Clymens regardais les humains parlez, il ne comprenait pas. Mais savait avec l'intancité de la voit que ce n'était pas super amusant. Il regarda l'humaine qui tennais sa laisse puis alla s'assoir a ces pieds le temps qu'ils arrêtent de parler. Finalement, l'humain qui vennais mettre son nez dans leurs affaires partit sans rien dire.

Clymens la regardait puis à son signal, ils ce remirent à marcher. Ils allaient en arrière dans la cours extérieur du chenil. Clymens arrêta de tirrer il ne voulait pas faire une autre gaffe. Il marchait à ces pieds sans tirrer en la regardant dans les yeux hate de pouvoir ce dégourdir enfin les pattes.

Arrivé dehors, il y avait un peu de vents, et personne dehors. Ils étaient seuls. Clymens était déja près à courrir partout comme un vrai fou !

[tu me dis si tu es en manque d'idée, si mes textes ne t'aide pas beaucoup pour faire les tiens ]

A l'exterieur, je suis aller dans un endroit où c'était calme, le chien, enfin Clymens, resta à mes pieds, c'était très étonnant pour un chien qui voulait dépencer toute son énergie, il était agréable, la laisse était pendante, un pas totalement relax, c'est un chien qui me respect beaucoup, donc je lui dois aussi tout le respect qu'il a droit.
En marchant je baisse ma main et je lui gratte derière l'oreille en signe de récompence.
Arrivée dans un endroit spacieux, un endroit vert, sans déchet, un endroit assez bien pour se défouler.
Je pense à la balle dans ma poche, un sourire s'affiche sur mes lèvres, je m'abaisse, puis je retire la laisse du Border, je laisse tomber la laisse à mes pieds, de l'autre côté de moi, pas où Clymens se trouve...
Je sors délicatement la balle de ma poche, d'une couleur rouge, je m'abaisse de nouveau près de Clymens, et lui parle tout bas.

-Alors maintenant qu'on est dehors je vais te laisser te dépenser seul, si tu as besoin de moi pour jouer, ou autre chose, signale-le moi.

Je lui montre la petite balle, je la lance assez loin, puis j'encourage activement Clymens pour qu'il se dépence à fond.

Clymens entend le bruit du mousqueton de sa laisse se déclancher. Puis il parre comme une fusée à courrir partout. Il ne pense a rien, il se croyais libre de faire ce qu'il voulait. Il courrait mais toujours en gardant un oeuil sur l'humain qui l'avait sortit de la. Puis il vue une balle, il s'approcha visant la balle, puis d'un coup de bras la femme lui envoya la chercher. Il courru et fit un bon en l'attrapant en plein vole. Il s'ammusait vraiment pour une première fois depuis plusieurs mois.

Il l'a rapporta, mais difficilement il voulait la gardez dans sa bouche mais il avait appris à jouer comme sa. Il la dépausa à ces pieds et recula de quels que metrès fixant toujours la balle. Puis trop impacient il repartit courrir et trouva un baton, il ce promena un peu avec le baton dans la geule avec un air fière. Il s'arrêta un peu en reniflant le sol puis repris son baton et l'emporta à l'humain. Même si sa ne fesait qu'environ une heure qu'il la connaisait il s'avait déja beaucoup attacher a elle. Elle était la première qui le sortit de cet endroit horrible et froid. Il s'assoya et regarda l'humaine dans les yeux et un petit sourrir s'afficha sur son visage.

Clymens dépause son batton car il voit que Maya à pris la balle dans sa main. Puis il était bien habitué à ce jeux, car les enfants de son ancien maîtres jouait souvent à lui lancé la balle et fesait semblant ! Avant même quelle fasse une tentative de lancé la balle Clymens savait quelle ne la lancerait pas ! Il regardait tout de même la balle puis elle fit semblant de la lancé, il bougea un peu comme près à partir mais savait quelle l'avait derrière son dos. Puis elle lui refait la même chose, cette fois Clymens ne bouge pas d'un poils, il entend '' Boum boum '' derrière son dos et ce précipite derrière elle pour l'Attraper. Il prend la balle et senva plus loin fière de l'avoir enfin.

Puis il va plus loin et regarde l'humaine, elle elle regardait quel que chose par-terre. Il ce met à creusé un trou et met la balle dans le trou et retourne voir l'humaine comme un innocent !

Il est vraiment intelligent le chien, Clymens est passé à coté de moi pour aller chercher la balle, je me retourne et je vois ce beau chien courrir avec une belle élégance, très fier de lui.
C'est très positif tout cela.
Je regarde de nouveau devant moi, puis toujours avec les jambes ecarter, je m'abaisse, puis regarde entre mes jambes, Clymens était partie plus loin je ne savais pas ce qu'il fasait, je me suis relevé, puis il est revenue vers moi en courant, et il n'avait plus la balle, je le regarde étonné, il l'a surment laisser là bas.
Je me suis mise à marcher, je ne faisais pas attention si Clymens me suivait ou pas, il a le droit de faire ce qu'il veut.

-Où elle est la balle Clymens?

Dis-je avec une voix douce et marrante, je m'attendais deja au pire.

Clymens faisait tout pour que je puisse trouver la balle, il tira sur mon pantalon, jappa, sautilla dans tout les sens, c'était marrant.

-Doucement Clymens, je te suis, allons chercher cette balle.

Je lui caresse sur la tête et derrière les oreilles, je suis ce si beau Border, il me montre le chemin où il a mit la balle, la distance était quand même bien longue, un grand sourire s'affiche sur mes lèvres, je m'entendais très bien avec Clymens, en plus je crois que lui aussi m'aime bien, et on se comprend tout les deux, c'est cela le plus important pour moi.
Arrivée la où il y avait normalement la balle, je regarde partout sur le sol, je me mets même à quatre pattes pour la chercher, mais pas moyen, je suis vraiment bête, ou c'est Clymens qui m'invente des sotise pour que je m'occupe de lui?! Non c'est pas ca, il veut me taquiner, et je comprends, je lui gratte derrière les oreilles, et je rigole ne même temps.

-Sacré Clymens, tu m'étonnera encore et toujours.

Clymens était tout fière quelle le comprenne. Il lui montra le chemin puis s'arrêta et s'assoya près d'ou il avait m'y la balle. Il regardait Maya regardez et cherchez partout mais elle le trouvait pas. Quand elle alla le voir pour lui grattez le derrière des orreilles il ce leva marcha jusqu'ou il avait creusé pour mettre cette balle et s'assoya en jappant. Il prit la balle et alla ce coller le nez sur sa jambe en essaya de lui donner la balle. Une fois la balle dans sa main, il recula près à allez la cherchez.


Il lacha soudain la balle de vue. Il vue une marmotte sur le terrain, il partit en fusée pour chasser cette grosse chose poilu brune de sur le terrain. Il courrait après la marmotte sans ce sousier de si Maya le rappelais, il voulait a tout pris la chasser de la. Il courrait en jappant, la marmotte courrait dans tout les sens elle aussi pour sauvé sa vie. Quand soudain elle entra dans son terrier pour si réfugiez. Clymens revenu vers Maya en courrant il avait la langue parterre, et était assoifé.

Le coquin avait caché la balle dans la terre, mais il était gentil, il me l'avait rendu, elle n'était plus rouge mais brune.
Je me suis mise à rire que il me l'a rendu sale.
Prête à lui re-lancer, il a été attiré par une marmotte, il courru rapidement, et moi je courais comme une folle derrière, criant pour l'arrêter, mais sans
succès, il ne m'obéissait pas, ces chiens et la chasse, il n'est pas possible de les arrêter.
La marmotte s'est protégé dans son trou, et Clymens est revenu vers moi, la langue par terre, il était complétement essoufflé, moi de même, de plus que j'ai courrue pour rien ...
Je me suis mise accroupie et caressa la tête de Clymens, et en même temps derrière les oreilles.
La langue me semblait sèche, il faut qu'il boive, c'est important, je suis aller rechercher la laisse.

-Reste là, je reviens très vite.

Je me suis remise debout, puis j'ai récuperé la laisse, je suis revenue près de lui, je lui ai mis la laisse, puis nous sommes allés dans un endroit où il pourrais avoir une gamelle d'eau fraîche.

[center]Quand il retourna voir l'humaine, il ce rendit vite conte quelle avait courru elle aussi. Pourquoi, il ne le savait pas puisque quand il courrait il n'écoutait rien appart son instict qui disait que cette marmotte ne devait pas être la. Il regarda l'humaine puis la lècha sur la joue et jappa quel que coups.
* Tu est en sécurité maintenant j'ai chasser ce monstre *

Clymens était tout fière d'avoir chasser la marmotte pour lui il avait protégé l'humaine. Finalement elle le rattacha, pour retourné à l'intérieur ou il y avait de l'eau. Ils entra dans le coulloir pour ce rendre ou il y avait de l'eau et passèrent près du même garde que plustôt dans la journée. Mais cette fois il pausa une question à l'humaine.

- Est-ce que le chien vous plaie ? -

Clymens ne fit pas attention au garde. Il regarda Maya puis tirrais sur la laisse car il avait vraiment soif.

Dans le couloir on rencontre le garde qui m'a ammenné ici, qui m'a présenté Clymens, il me demande si le Border me plait, mais pendant ce temps Cymens tirait sur la laisse, il avait soif, très soif, et moi aussi d'allieur.

-Ecoutez, nous avons beaucoup courru, et nous avons très soif, vennez avec nous, et ...

Clymens était plus fort que moi, c'est lui que me promenait.

-... on en discutera là.

Clymens m'avait conduit dans la salle où il était avant, la pièce froide et sombre, en effet, là il y avais un lavabo, et deux gamelles, je pris celle avec l'eau, et changea rapidement l'eau pour en mettre de la fraiche.

-Tiens bois mon grand.

Je regardais le garde, avec un très grand sourire.

-Oui j'aime beaucoup Clymens, il est vraiment adorable comme chien.

Clymens tirra sur la laisse jusqu'a son arrivé dans la pièce ou il savait que l'eau l'attendait. Mais cette eau la avait un arrière gout vraiment pas bon. Maya pris son bols et lui en donna de la fraiche. Clymens était tout heureux et ce coucha pour boir.

Finalement après avoir terminé sa gamelle d'eau il n'avait plus soif. Il s'assoya au pieds de Maya et en regardant le garde qui les avait suivit jusque l'a. Il ne comprenait rien à ce qu'il disait, parcontre le sourir sur le visage de Maya voulait tout dire pour lui.

Au fond de la pièce ce trouvais une balle. Clymens regardait Maya qui parlais avec l'homme, il partit en essayant de ne pas ce faire remarquer pour allez chercher la balle. Il la rapporta au pieds de Maya. En la regardant dans les yeux. Les yeux de Clymens pétillait de bonheur !

* Voila je suis près maintenant j'ai ma balle, vien joué avec moi ! *

Le garde me regarde avec un un grand sourire, il ne me disait rien, mais je sentait que Clymens aller être adopté par moi, le garde sans rien dire re-part à son bureau.
Clymens, tant dis que lui, était partie dans le fond de la pièce, et il est tout de suite revenu vers moi.
Il avait une balle, plutot SA balle dans la gueule.

-Et ben dit donc toi, tu n'es jamais épuisé!

Je m'accroupie puis lui caresse la tête, puis en dessous de son cou, il laisse tomber sa balle à mes pieds, mouillée, je la prends, et la garde en main jusqu'à dehors.
La laisse était accrochée là où elle se trouvait avant que j'arrive voir Clymens, étant assez obéissant, je me suis dis qu'il n'avait pas forcement besoin de la laisse, mais je la prennais quand même au cas ou.

-Aller viens, on va encore un peu s'amuser à l'exterieur, là où on était tout à l'heure, vu que c'est ca que tu demandes, te dépencer.

J'ouvre la porte, je sors la première, en faisant en signe de tête à Clymens, pour qu'il me suivie.

-Reste bien aux pieds.

Clymens était tout heureux avec Maya. Il s'entendait relativement bien avec elle. Quand elle ouvra la porte il était tout content de resortir de cette pièce, il était content de ne pas y restez encore seul. Il regardait bien attentivement la balle qu'avait Maya dans les mains. Puis quand il sortit elle lui demanda de restez bien au pied, il alla ce placé à ces cotés en marchant tout en regardant toujours la balle.

Arrivé dehors, le garde était la. Il n'avait pas l'aire de bonhumeur. Il cria à lui et Maya.

- C'est ce Stupide chien qui à creusé se trou ? Il va mangé un mauvais quart d'heure celuis la -

Le mot mauvais quart d'heure n'avait rien de bon au orreilles de Clymens, il regarda Maya la queue entre les jambes et les orreilles complètement baissé. Et ce coucha et ce mit en position de soumission dirrect. Il avait peur, peur de cet homme.

Clymens écoutait les 2 humains ce parlez fort. Cela ne lui disait rien de bon. Quand il vue la balle, il y alla mais seulement pour se sauvé du trouble car il avait peur. Il n'y alla pas à la course mais à la marche et avec la queue entre les jambes il marchait le corps bas très près pour ce mettre en position de soumission.

Il entendit le garde crier autres choses.

- Oui ce chien est stupide la preuve personne n'a voulu de lui, c'est pour sa qu'il est sur le bors de l'euthanasie.. -

Clymens, était très triste et épeuré. Il ne comprenait pas ce qu'il arrivait. Tout était bien jusqu'a maintenant, avant que ce garde vienne foute tout en l'aire. Une idée songea dans sa tête. Il ne voulait pu être le chien soumis, une rage s'empara de lui, il alla de son plus vite et croqua dans la jambe du garde. Il était facher et grognais tout en mordant très très fort. Trop de rage accumulée chez lui, sa avait donner sa. Le garde essaya de toute les manières de faire que Clymens lache prise, mais rien n'y parvenais. Clymens était sous l'emprise de sa peur.

Il lacha finalement prise, mais ce mit à japper après l'homme. Sa rage de peur n'était pas encore passé, et sa n'allais pas être lui qui allais passé un mauvais car d'heure, mais ce méchant garde.