Un enfer (libre, surtout pour un gentil maitre xD) [ADOPTÉE]

Des barreaux de cages. Je ne voyait que cela en se moment, la solitude, ce sentiment si désagréable que se serait a vous en faire frémir les oreilles. Mon rêve ? Pouvoir courir et sauter dans un grand pré, et me voilà dans une grande cage. Tout ça parce que je m'était trop exciter quand il m'avait sortit et faillit faire tomber une fillette en la frôlant de trop près au triple galop. J'les comprenait pas ces gens, et le ptit chiot qui arrêtait pas de gueuler commençait vraiment a me taper sur les nerfs. Je me précipita contre les barreaux dans la direction du ptit cocker, ce qui eut pour effet de le faire taire.

*Fioooouuf...*

"Oh ! Toi tu vas te calmer !"

Fit le vieux papi qui nous gardait. En gros, quand il disait cela, ça voulait dire qu'on aurait pas a manger le soir... Et dire qu'il faisait beau dehors....

J'étais là, couchée, observant n'importe quel détaille quand une jeune fille s'approcha de moi. J'eu d'abord peur, et si elle voulait me punir ? Je plongea mon regard dans le sien et vit un regard doux. Elle semblait gentille, je me détendit alors. Je m'approcha d'elle sortant mon doux museau, espérant qu'elle me caresse.

*Salut, tu veut être mon amie ?*

Puis je vit le vieux derrière elle, il me voulait du mal, ils me voulaient du mal ! Je recula instantanément me cacha au fond de la cage.

Emilie ne semble pas étonné par cet réaction, cet employer là emmener ici, pourquoi serait-elle gentille avec lui ?
Elle voulait en savoir plus sur cette douce chienne.
Son sourire ne lâche pas, et son visage est toujours aussi joyeux.
Comment peut-on mettre des chiens dans de tels endroits !

- Comment s'appelle t-elle ?
- Ounmeï.
- Puis-je aller la promener pour faire un peu plus connaissance ?
- Hum... Bon daccord...
- Merci !

Elle était très contente de pouvoir la promener.
L'employer lui donne la laisse ainsi que le collier, puis il ouvre ensuite la cage.
Emilie était d'une impatiente énorme, elle aime offrir du bonheur autour d'elle, même à un chien.
Elle avait même pris avec précaution des petites gateries dans sa poche.

Je vis l'employer se retourner prenant un vieux collier et une vieille laisse. J'allais sortir de cette prison ! Enfin ! J'étais sur les stracting bloc, prête a courir pour la liberté. Des que la cage s'ouvrit, Je pris élan contre la paroi de ma cage et bondis en dehors de sa prison. Lorsque j'eu dépassée a grande vitesse les deux personnes, je me sentis libre, mais, un homme avec un filet m'attrapa de justesse. J'eu beau me démener, je ne put sortir du filet.

"Vous êtes sur de vouloir la sortir, cette chienne est folle, ce matin, elle a faillit tuer une gosse. On a voulut la piquer mais la réception a assuré que c'était un accident..."

J'étais de nouveau dans ma cage. Mais j'avais changer de place. Car Hier soir j'avais faillit trucider le chiot qui était à côté de moi. Il aboyait si fort qu'il avait du me percer les tympans ! Pendant que je m'ennuyait ferme coincer entre un bouledogue et un doberman, la jeune fille d'hier vint me voir. Elle allait me chercher. Je battit de la queue malgré le peu de place dans mon cage. Quand elle ouvra la porte, je descendit d'un bond et je m'assis gentiment, la regardant de mes beau yeux noirs.

[ Voilà ]