(. Si tu veux tenter ta chance, alors entre dans la dance !

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(. Si tu veux tenter ta chance, alors entre dans la dance ! *
Premier message à ma Laura <3

Un plat de croquettes.. Mmm.. quoi de pire pour un chien comme moi. Et pourquoi ce chien qui me regarde bizzarement, à couleur de feu et attaché devant ce couloir de cages a de la viande ? Cette fourrière n'est que pourrie. J'ai hâte de sortir d'ici.. Ma liberté est mon essentiel.

Le sol tapissé de cordes de fer taillassait son ventre, là ou de minces plaques de poils paraissaient. Ces cordes lui grugait le poil, & sa patte était coincée dans un trou de cette grille. Quoi de pire pour une arrivée dans le premier refuge trouvé. Aujourd'hui, Balto était tapis dans l'ombre. Il faisait sombre dans sa cage, une petite ampoule dilluait de la lumière vers le plafond. Mais notre Balto pouvait remarquer les yeux implorants et attristés des chiens qui, parfois, leur manquait un membre, étaient sals ou maltraités. Tout ces chiens méritaient un foyer. Balto soupira, et laissa un grognement s'échapper. Tout de suite, le gardien de sécurité parcouru d'un pas rapide le couloir et en quelques secondes il fut perché devant le mâle husky qui démontra vite ses dents. Être dominé par un humain ? Oh ça, jamais. On peut dire que ce bel husky aux yeux bleutés couvert d'une infinie couche de blanc n'était pas le plus gentil, ni le plus tendre et le plus affectueux. Il était plutôt : Aventurier, casse-cou, rêveur, inssessisable, mélancolique, méfiant, peut-être même dangereux lorsque vous ne prenez pas consience de sa personalité. Balto n'était pas rafinné, ni propre, encore moin juvénile et doux. Il avait besoin d'un maître ferme et ordonné, mais à ses préférences, il en voulait un timide, qui pouvait se laisser dominer facilement et obéire aux ordres de son chien. Voilà ce qui pouvait rendre ses hobbies à son 100 %.
L'homme fronça les sourcils, laissant le chien blanc et noir dans un piteux état : Patte enlacée dans des fils de fer, une minuscule cage pour un si gros chien & peu de lumière. Balto fit un cri de loup, et peu de temps après, d'autres chien de sa race et de race similaire se mirent à faire de même. Baltofaisait tout pour arriver à ses fins & se débarrasser de cet endroit qui sentait le refermé et la crasse. Peu de temps après, trois hommes se soudèrent devant la cage du jeune mâle insessissable, puis l'un d'eux enleva la patte coincée de Balto des les trous du sol d'un geste violent, ce qui fit gémire le pauvre husky au tempérament caractériel. Puis, il empoignèrent des cordes et attachèrent Balto pour le traîner avec force dans une salle répugante et sale. La porte contenait un lit tout moux, mais cette moelleuseté n'était nul autre que quelques pellicules de moisi, et il y avait une petite fenêtre. Aujourd'hui, Balto s'était tappé les pires employés de cette fourière, et personne ne savait qu'ils agissaient ainsi quand un chien les énervaient.

Un jeune homme blond passa dans les allées de la fourrière. Sur le champ, Balto se leva du sol et se mit debout, les pattes dans la fenêtre, à gémire et à hurler comme un loup, sûrtout qu'il abboyait extrêmement fort. Un des hommes tira sur une toile noire et la superposa devant la fenêtre, pour ne pas que l'homme blond pense qu'il y a un chien maltraité à l'intérieur. Mais les hurlements de Balto pouvaient en dédire le contraire. Cet homme blond pouvait t'il faire quelque chose ? Il devait tenter sa chance auprès des gardes pour faire ouvrir cette porte qui menait à une salle absolument horrifiante.

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[HS : Je me permet de te "réserver". J'éditerais lorsque je serais validée !!]

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[ Désolée, le sujet est déjà réservé à Charlie ]

[ Hey! J'en ai plein le dos, j'ai vraiment la rage! T'as vraiment pas d'peau, complètement sauvage! ♪ Very Happy

]

Charlie passa la porte et s'arrêta devant les rangées de cage. Les chiens se mirent à hurler, plein d'espoir, tous leurs regards braqués sur lui. Le jeune homme était malheureux à la vue de tous ces chiens qui lui demandaient de les sortir de cet enfer. Comme il aurait voulu tous les ramener chez lui... Ces pauvres chiens vivaient chaque jour dans le maigre espoir d'être adopté. Voir tant de belles bêtes aussi malheureuses et mal traîtées, ça lui fendait le coeur. Charlie était un homme droit et confiant en lui-même, mais il avait toujours eut un faible pour les chiens, grand tendre qu'il était. Son père avait tenu une pension pour chiens pendant 10 ans, et il lui avait transmis son amour des chiens, et il lui avait aussi appris à dresser un chien et lui faire comprendre qui était le plus fort, en étant ferme et autoritaire. Bien sûr, il y en avait toujours qui refusaient de se laisser dominer : et c'étaient ceux-là que Charlie aimait le plus. Parce qu'il aimait les défis et n'aimait pas quand les choses étaient trop faciles. Après tout, comme dit un certains dicton : ' À vivre sans péril, on triomphe sans gloire. ' Et puis, il était confiant en ses capacités et ne croyait pas vraiment qu'un chien puisse lui tenir tête bien longtemps. Mais peut-être serait-il surpris, un de ces jours... Razz

Bref, attristé par la détresse des chiens, il détourna le regard, ne voulant pas voir toute cette misère, et c'est alors qu'il aperçut un chien par une fenêtre grillagée, transporté par deux gros gaillards qui le portait comme si l'animal avait été une peluche. Un troisième se tenait près d'une table coussinée toute moisie. La pièce était sombre et étrange, elle avait l'air d'une salle d'opération abandonnée... Les hommes déposèrent brutalement l'animal, et dès que ceux-ci se furent tassés de son champ de vision, le regard du chien et de l'homme se croisèrent. Aussitôt, le magnifique husky se mit à aboyer comme un fou, ses yeux suppliant Charlie du regard. Les hommes tentèrent de le faire taire, en vain. Ils descendirent donc une toile sur la fenêtre, mais trop tard : Charlie avait tout vu et il était scandalisé. Il grimpa une volée de marche, arriva devant le bureau du directeur, et tambourina furieusement contre la porte. Sans même attendre qu'on lui réponde, il entra à l'intérieur et traîna le directeur jusqu'au bas des escaliers, en lui expliquant que des employés étaient en train de maltraîter un pauvre chien. Les deux hommes s'engouffrèrent dans la salle de torture improvisée juste au moment où un des gros gaillards frappait le pauvre husky sur le nez. Celui-ci avait les pattes attachées les unes contre les autres et un autre homme tentait en vain de lui mettre une muselière.

- Lâchez cette pauvre bête! gronda Charlie.

Il se dirigea à grand pas vers la vieille table et, en passant devant les trois hommes, il leur lança des regards furieux. Ceux-ci s'écartèrent pour les laisser passer, pris sur le faite. Charlie s'affaira à libérer le pauvre chien, en lui parlant doucement pour le rassurer.

- Eh blondinet, tu fais quoi ici? Dégage on fait notre travail, c'est ré... commença un des hommes.

- La ferme Rockfort! s'exclama le directeur, très en colère. Ça va barder pour toi, espèce de gros lourdeau sans cervelle! Attendez-moi tous les trois dans mon bureau, rajouta-t-il à l'intention des trois gaillards.

Le dénommé Rockfort poussa un grognement, lança un regard mauvais à Charlie, puis sortit de la pièce et monta les escaliers, suivis de ses comparses. Pendant ce temps, Charlie termina de libérer le chien et le déposa délicatement au sol.

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[Ouiii <3]

Alors là, s'en était vraiment trop. Trois hommes, trapus et barbus, venaient de s'imposer devant lui pour le calmer. Il était à présent ligoté de tout les côtés, une musolière ne s'attardait pas de lui bloquer la mâchoire, mais peu de temps avant de l'imposer dans le calme, ils le frappèrent violament sur la truffe. Le pauvre chien se mit donc à gémire et à hurler, ses yeux implorants commençaient à s'intiller. Le mâle avait un morceau malléable de cuir dans la bouche, qui provenait de la musolière assechée et mise et déchiquetée de tout recoin. Balto relâcha un grognement, aussi sinistre que méchant. Il en avait marre d'être manipulé, et sûrtout d'être mal traité. Le husky planta ses dents dans le morceau de cuir détaché de la musolière, mais en vain, on lui aracha brulatement, ce qui fit très mal à ses dents. De plus, toute la nourriture absolument dégoûtante qu'ont lui avait donné le rendait malade, et son haleine n'était pas très fraîche. Étais-ce si croyable de voir un chien souffrir comme ça ? Et pourquoi les homains prenaient un réel plaisir à faire souffrir ? Balto n'était peut-être pas le chien le mieux dressé, encore moin le plus calme et le plus gentil, mais il était un chien, parmis tant d'autres, qui ne demandait qu'à avoir un maître et à vivre une longue et belle vie et de mourir dans son sommeil, lorsqu'il serait vieux. Ça, c'étais une belle vie de chien. Le chien sentait les cordes lui fendre sa fine peau sensible, et peu de temps après, on pu appercevoir des traces de cordes dans son poil, où le poil avait été légèrement arraché. Le husky ne se plaignait plus, car à présent, il savait qu'il allait mourir. Vaut mieux profiter des derniers instants de sa vie, même si cela était en souffrance extrême. Les hommes étaient des monstres, des vrais, en plus d'être des machines à tuer. Balto s'appuiya la tête contre le sol, tandis que les humains se jettaient dessus pour l'abbattre petit à petit. Ses yeux entre-ouverts avec les larmes qui semblaient en jaillire laissait démontrer sa haine, sa rage, sa souffrance et tout ce qu'ont lui avait fait subir. Sa petite patte droite était remontée près de son coeur, car elle était soit foulée, soit cassée. Mais il ne pouvait dédire la fracture de sa jambe, car il fut maintenant transporté dans un lit, ce lit tout plein de crasse. Lors du transpore, il fut percuté de nombreuses fois, mais en vain, ça ne lui dérrangait pas, car dès que les médias auraient apprit cette nouvelle désastreuse, ce chenil, ou fourrière, un des deux, allaient devoir libérer tout les chiens et les mettres dans un refuge de meilleure qualité. Mais un chien allait y périre, et ce chien était Balto. Il n'allait pas mourir en héro, car il n'avait fait qu'augmenter le plaisir des hommes, qui, certainement, feront tout pour ne pas aller en justice. Balto sentait qu'un autre homme allait se rajouter, de ci peu. Il laissa un petit gémissement s'échapper. Cela paraissait bizzare de voir un gros chien bien musclé et puissant se faire avoir par les hommes comme ça, mais en fin de compte, il l'avait peut-être mérité.. Un homme entra, et après une certaine engueulade, les trois machines à tuer sortirent de la salle refrognée et absolument dégoûtante. Autre fois, cet endroit était une salle reposante et très appréciée par les chiens. et le propriétaire et directeur du refuge ne semblait pas savoir comment cette salle avait pu se rendre comme ça, aujourd'hui. Balto avait un regard de chien abbattu, près à rendre l'âme à n'importe quelle fraction de secondes qui s'addonnaient. Mais ses yeux s'emplirent d'espoir dans un homme furieux contre cet acte criminel qui s'avait imposé pour ce husky arriva. Le husky fit tout pour se débattre, mais il ne pu que se faire mal davantage. Il laissa retomber sa tête contre le sol, puis fermit les yeux, attendant que le nouveau venu l'emporte à l'abbatoire. Mais ce ne fut pas le cas, car il avait l'air plutôt fâché que Balto était autant mal traité. Balto supplia du regard le jeune homme à chevelure blonde, pour qu'il le sorte de là. Balto avait besoin de l'amour d'un homme qui n'était pas froid et méchant comme ceux qui l'avaient fait subir le martire. Balto avait l'impression d'être le seul à être torturé comme ça, depuis le tout début de ce refuge. Mais si ce n'était pas le cas, et que des centaines d'animaux avaient périts, le refuge aurait été bien avant fermé. Mais Balto ne voulait pas faire le scientifique pour le moment, il était concentré sur le jeune homme blond.

Peu de temps après, Balto pensait être liberé de ses souffrances. Le jeune homme venait de le détaché, et il voulait l'emporter avec lui. Cet homme, au regard sauveur et doux, était peut-être l'un deux ? Étais-ce un piège ? Alors là, Balto se devait d'être prudent. Mais si il se sauvait, il n'irait pas bien loin, car il avait une patte soit foulée ou cassée, et avait mal à toutes les parties de son corps. Il ne fit qu'attendre le bon moment pour voir ce que son sauveur allait faire.

* Il doit m'aider.. *

Ce chien serait traumatisé à vie maintenant, Charlie ne le savait que trop bien... Après avoir été battu (car à en juger par ses blessures et son regard, c'était bien ce qu'on lui avait fait) de telle façon, jamais un animal ne pourrait l'oublier. Il ne ferait plus confiance aux hommes, à moins que quelqu'un ne lui redonne confiance à nouveau en cette race à la fois merveilleure et dégoûtante qu'étaient les humains. Charlie voyait que le chien était confus, il semblait incertains de l'attitude à adopter et il se demandait si tout était terminé, ou alors si on allait encore le faire souffrir... Pris de pitié et attendrit par ce petit visage poilu empli de terreur et de crainte, le jeune homme s'accroupit près du chien, qui, malgré qu'il soit maintenant libre et posé au sol, n'avait pas bougé d'un poil. Charlie aurait voulu enfoncer ses doigts dans la fourrure rêche et épaisse, carresser l'échine du chien pour le rassurer, mais il savait que le husky n'était pas encore prêt pour un nouveau contact. S'il voyait qu'on tentait de le toucher, il s'affolerait, pourrait tenter de mordre... Alors il le regarda, tout simplement. Avec douceur et compassion, avec tendresse et chaleur. Sans un mot, il tentait de le rassurer, de lui faire comprendre que c'était terminé ; car ça l'était bel et bien. Il sourit avec beaucoup de douceur et attendit une réaction de la part du chien. Cependant il trouvait étrange que l'animal n'aie pas bouger. C'est qu'il n'avait pas encore vue la fracture à sa patte. La voix du directeur tira Charlie de son espèce de transe avec le chien. Il s'approchait de lui et lui disait :

- Monsieur, merci milles fois de m'avoir prévenu. Je n'avais aucune idée de ces activitées, je le jure. J'espère que...

Il devint soudain nerveux et embarrassé. Charlie jeta un dernier regard rassurant au chien et se releva, fixant le directeur dans les yeux, ce qui le rendit encore plus mal à l'aise.

- Vous savez, je... J'oses espérer que ce... ce petit malentendu ne... ne seras pas... ne.... ne passeras pas devant les tribuneaux...

Il se racla la gorge et osa enfin soutenir le regard de Charlie. Son expression était indéchiffrable, impossible de savoir ce à quoi il pensais. Finalement après un silence, il déclara :

- Je suis vraiment désolé, Monsieur le directeur, mais de telles actions ne peuvent être ignorées. Je vais devoir faire un plainte à la SPA, c'est mon devoir de citoyen.

- Oh non, je vous en supplie! s'exclama le directeur, suppliant. Ils fermeront certainement l'endroit! Et moi, que vais-je devenir? C'est une entreprise familiale, notre pain de vie! Vous ne pouvez pas faire ça! Et... et tous ces chiens? Où iront-ils? Ils n'auront pas de foyer, ils ne comprendront pas! Cet endroit est leur maison!

- Non, cet endroit n'est pas leur maison. répondit calmement Charlie. Je n'ai qu'à croiser leur regard pour deviner qu'ils rêvent tous de sortir d'ici. Ils iront dans un meilleur chenil où ils seront mieux traîtés. Et je suis désolé pour votre entreprise, mais il fallait penser au bien-être des animaux si vous vouliez garder ce chenil. Je suis navré mais je ne peux accepter cela.

- Non, s'il vous plaît! Et les employés? Que feront-ils? Ils ne sont formés pour rien, ils font ce boulot parce qu'ils n'ont rien d'autres à faire! Vous voulez aider, monsieur, mais je crois que de fermer mon chenil ferait plus de tort que de bien.

Charlie réfléchit aux dernières paroles de l'homme. Il pensa à Jessie, qui travaillait ici, et se rendit compte que non, il ne pouvait pas lui faire ça. Et de toute façon, il n'avait pas les moyens de faire une poursuite. Finalement, Charlie plia et annonça :

- D'accord, je ne ferai pas de plainte. Mais je veux au moins ramener ce chien chez moi.

Il montra de la tête le petit husky sous le choc. Le directeur répondit, mal à l'aise :

- Je suis désolé, je ne peux pas : le règlement de la ville exige que vous connaissiez mieux le chien avant de l'adopter.

Charlie se sentit frustré, il avait perdu sur toute la ligne, finalement. Sa seule victoire, c'était d'avoir sauvé ce chien. Mais c'était tout de même une victoire. Charlie poussa un soupir agacé mais il décida de ne pas insister, car cette fois, ce n'était pas la faute du propriétaire.

- Bien, obtempéra-t-il. Mais si je trouve ce chien avec une seule érafflure, je me plaint à la SPA! Compris?

Le directeur accepta, soulagé, puis laissa Charlie seul avec le chien, pour aller voir ses trois moineaux dans son bureau. Lorsqu'il eut quitté la pièce, Charlie s'assit sur le vieux lit et observa le chien, attendant de voir sa réaction aux événements. Il ne pouvait s'empêcher d'être pris de compassion pour le pauvre animal.

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» Je veux partir !!!
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