Unknown Freedom

:J'ai vécu ma vie dans une fourrière,ma mère nous a quitté rapidement,j'était jeune et naif je n'avait pas encore le sentiment de la haine des chiens de race.Tout à commencer quand j'avais à peine un mois.J'était dans mon coin en train de fixer le monde qui passait près de mois sans m'adresser un seul regard.Le matin du lendemain,la porte s'ouvrit brusquement,je sursauta,et fixa la personne qui avait osé troublé mon sommeil.C'était un homme grand,habillé tout en noir.Il regardait fixement tout les chiens qui était sur son passage.Il s'arrèta devant la mienne,et me fixant derrière ces lunettes fumées en souriant.Il fît signe d'approcher au gardien et me pointa du doights.Le gardien fît un signe de tete et apporta une cage et une muselière.Il me prit par la peau du cou et je réussi à le mordre sauvagement.Il retira rapidement sa main avant de me reprendre,prudamment.Il m'amena dans la cage et me mis la muselière.j'essyais de mordre meme à travers de ce qui m'empechait de mordre.Je fît un long voyage en auto avant de me rendre devant un manoir,il me fit sortir à coup de pied de la cage laissant la muselière sur ma gueule.Je me mis à courir lorsque je vis deux chiens s'élancer vers moi je changa rapidement de direction avant de me jeter sur eux,Ils me repoussèrent.L'homme s'élanca vers nous et nous séparrèrent.Je rentra dahns le manoir sans un regard ni d'un grognement.Le soir venu,tout le monde était couché et je visitais les alentours essyant tant bien que mal de me familiriariser avec cette univers.J'entedis un bruit,je me retourna vivement amis vis rien,je continua lorsque le bruit recommenca de plus belle,je me retouna à nouveau et c,est là que je les vit il était dans l'ombre me fixant de leur yeux bruns.Puis J,entendis une voix venant d,un d'eux.
-Regarde Silver,le nouveau est tout seul.
Je vis sur le visage du deuxième s'afficher un sourire sadique.Ils s'avancèrent vers moi et je fonça dans le tas.Ils était fort et j'en étais sûr c'était des chiens de race,je me débattais montrant ce que je valais.Lorsque des pas dans les escaliers se fît entendre.Nous arrètions et les chiens se jetèrent à terre faisant à semblant d"être entre la vie et la mort.L'homme devant la scène parut étonné et me jeta un regard vengeur.Il me prit et me jeta dans la cours avec un coups de pieds.J'était couvert de sang et je courais et courais.C'est depuis ce jour que jèrent dans les rues.