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| Sujet: { AKAH * Jeu 14 Aoû - 19:20 | |
| Akah J'suis non monayable, non négociable.
• NOM : Akah • ÂGE : 6 ans • SEXE : Mâle • RACE : Aïdi ou Chiens de l'Atlas
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• AVANTAGE POUR QUELLE DISCIPLINE? : Fly Ball
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• CARACTÈRE : Akah n'est pas le chien parfait, doux, tendre et patient dont tout le monde veut. Ce n'est pas non plus un joueur affectueux et hyper-actif qui adore jouer avec son maître. C'est un chien au caractère à part et difficile, un animal féroce qui ne fait aucunement confiance aux humains. Depuis sa plus tendre enfance, il haie ces bipèdes et éprouve pour eux un profond dégoût. C'est un chien presque sauvage, agressif et violent lorsqu'il le veut, qui sait très bien se servir de ses longues griffes [ qu'il ne vous laissera jamais couper ] et de ses énormes crocs. Il est massif [ un gros tas de muscles ], costaud et très rapide. Il n'est pas du tout pacifique et utilise souvent ses griffes pour se sortir de situations délicates. Il est extrêmement méfiant avec les autres chiens. Akah est fourbe, voleur et très rusé, il sait se sortir du pétrin. Malgré tout, il est courageux et protecteur avec ceux qui réussiront à le mettre en confiance. Il est un peu froid et très maladroit avec ses sentiments, ce qui ne fait pas de lui le meilleur des amants. Cependant il est franc et honnête, mais ment très bien. C'est un dominant qui cache très bien ses sentiments. En fait, il est connu pour avoir un coeur de pierre. Il a une véritable phobie du feu. • HISTOIRE : - Spoiler:
Akah est né dans une fourrière. Oui, vous avez bien entendu, une fourrière. Sa mère et son père s'étaient accouplés une nuit, ni vus ni connus, alors que les humains dormaient bien au chaud chez eux. Ainsi, Akah fut conçu dans le secret, car si on avait su que la chienne était enceinte, on l'aurait tout de suite tuée, puisque cette fourrière au budget très maigre n'avait pas les moyens de la faire avortée. Heureusement, les humains ne se rendirent compte du fait que lorsque la chienne mis bas de 4 petits chiots : 3 fauves et 1 noir. La portée comptait 3 femelles et un mâle : Akah. Akah était le seul mâle et n'avait que des soeurs, mais il en était très heureux et appréciait la compagnie de toutes ces femelles, en particulier celle de sa mère qu'il aimait beaucoup. Les humains étaient passés à deux doigts de la tuer en découvrant les 4 petits êtres taîtant à ses mamelles, mais même ces gros pachas avaient des émotions et on décida finalement de laisser la mère et les petits en vie. Ainsi, Akah passa la première année de sa vie dans le bonheur et l'amour. Mais toutes les belles choses ont une fin : un jour, on décida que la mère et le père étaient là depuis trop longtemps. Le manque d'argent de la fourrière devenait critique et ils avaient décidés d'euthanasier les chiens qui étaient là depuis le plus longtemps, pour réduire le coût de l'achat de nourriture. Et la mère et le père d'Akah faisaient partie du lot. Cette fois, les humains furent insensibles : les chiens eurent beau pleurer, supplier, griffer, mordre, rien n'y fit : on les transporta de force dans la salle d'opération et on leur enleva la vie à tout jamais, sans leur permettre le moindre adieu à leurs petits. Akah s'inquiéta de voir les humains revenir sans ses parents, mais il réussit finalement à se rassurer. Cependant, il commença vraiment à avoir peur lorsque au soir, ses parents n'étaient toujours pas revenus pour la lèche de bonne nuit. Ses soeurs aussi s'inquiétaient, et lui demandaient : « Où est maman? Pourquoi elle n'est pas revenue? » Il ne savait pas et tentait tant bien que mal de rassurer ses soeurs, mais lui-même était terrifié. Ainsi, les jours passèrent et le jeune mâle comprit que ses parents ne reviendraient pas. Cependant, il ne trouvait pas le courage de l'annoncer à ses soeurs, qui s'en doutaient elles aussi. Mais il y fut bien obligé lorsqu'une nuit, une de ses soeurs le surprit en train de pleurer, et c'est là qu'il les réveilla toutes pour leur annoncer la mauvaise nouvelle. Ainsi, Akah prit la petite famille en charge et se montrait extrêmement protectrice avec les trois petites femelles. Il grognait et tentait de mordre tous les humains qui tentaient de les saisir. Il était devenu le protecteur de la famille, le 'père'. Cependant, les choses se gâtèrent lorsqu'un humain voulut adopter une de ses soeurs. Il devint complètement fou : il mordit la main qui tenta de prendre la petite, griffa, déchira les vêtements de l'homme... Si bien qu'on dû le piquer pour l'endormir et l'euthanasier ensuite. Mais Akah ne se laissa pas faire. Déjà, son caractère féroce faisait surface. Lorsqu'on tenta de lui administrer la piqûre mortelle, il se débattit, mordit, griffa, broya les os qu'il pouvait atteindre. Il était plus violent que jamais et le goût du sang était omniprésent dans sa bouche. Enfin après un moment de combat acharné, un des hommes se mit réellement en colère et s'arma d'un fusil. La lutte fut encore plus acharnée, mais Akah sortit vainqueur. Une balle était incrustée dans son molet, une autre avait frôlé son échine et une avait manqué de peu sa tête. De plus, il gardait les marques des coups et des doigts qui avaient voulu le faire prisonnier. Ses blessures l'élançaient atrocement, mais il continuait de courir et enfin, sortit à l'air libre. Il était véritablement libre pour la première fois de sa vie. Cependant, il garda pour toujours une haine brûlante pour les humains depuis ce jour, qui eut le loisir d'augmenter encore dans les années suivantes.
Le jeune chien d'un an et demi marcha quelques kilomètres avant de se laisser tomber, inconscient, dans un tas de sacs de poubelle tout au fond d'une réelle. Ce jour-là en s'évanouissant, il avait été certain de mourir. Et pourtant, lorsqu'il se réveilla, il était toujours vivant. Et un vieux clochard se tenait près de lui et le regardait. Son expression était indéchiffrable. Akah bondit sur ses pattes et grogna, tentant d'effrayer le vieil homme. Mais il ne bougea pas. Il continuait de le fixer. Akah resta quelques minutes à défier l'homme du regard, mais jamais celui-ci ne baissa les yeux. Enfin, Akah s'éloigna. Et le vieil homme ne le suivit pas. Akah ne voulut jamais l'admettre, mais il le savait pourtant, c'était cet homme qui lui avait sauvé la vie. Son souvenir de ce vieillard est frais dans sa mémoire, mais il n'éprouve aucune grattitude pour lui, sa haine pour les humains est trop grande. Bref, Akah vécut en chien des ruelles, se battant férocement pour sa liberté. La fourrière tentait souvent de l'attraper, mais jamais il ne les laissa. Il arrivait toujours à s'en sortir. Ainsi, il continua sa vie de chien errant solitaire, combatant pour des morceaux de viande ou pour un territoire. Il avait quelques alliés et bons amis, et il se jugeait maître des ruelles. Bref, sa vie allait pour le mieux et il était fier de ce qu'il était. Il avait même un meilleur ami, avec qui il avait fait les 400 coups. C'était son compagnon, son frère. Il l'appréciait énormément et n'aurait pas supporté de le perdre. Mais un beau jour, les choses se gâtèrent. La cause? Les humains. Encore. Un programme de 'nettoyage' avait été lancé, et une énorme équipe d'hommes armés de filets et de batons avait débarqué. On avait dit à la population de mettre des colliers à leurs chiens, et les ordres étaient de capturer tous les chiens sans colliers. Ainsi, les combats devinrent encore plus violents... et sanglants. Akah se battait plus férocement que jamais, mais un jour, on finit par le capturer. Après 4 ans de liberté, il devait retourner dans une fourrière, prisonnier d'une cage sale comme une bête de cirque. Il rageait et être ainsi enfermé entre 4 murs le rendait fou. Sa cage était plutôt grosse, mais ce n'était pas suffisant. Il avait tenté plusieurs fois de s'échapper, mais en vain. Cependant un jour, à sa dixième tentative, on décida qu'il était trop fougueux. Cette fois on l'assoma et on le bâillonna, et il se retrouva à nouveau dans une pièce toute blanche : la salle d'opération. Les hommes étaient au-dessus de lui et préparaient l'injection. Il voulut combattre, mais il était attaché. Et cette fois, il abandonna. Les hommes l'avaient vaincus, il allait mourir. Et pourtant, le destin en décida autrement : un énorme chien noir bondit sur la table et mordit, déchira la peau. Ce chien, c'était son ami. Son meilleur ami qui était venu le sauver. Akah était incrédule. Il lui avait sauvé la vie! Jamais on n'avait fait ça pour lui... L'Aïdi se sentit étrange. Une sensation chaude emplit son coeur, il ne connaissait pas cette impression... Mais c'était si agréable. Revigoré, il se libéra de ses liens et prêta main forte à son ami, prenant plaisir à combattre à ses côtés. Tout allait bien... Jusqu'à ce que son ami soit maîtrisé. Des hommes arrivèrent en renfort et deux groupes tentaient de maîtriser chacun un chien. Les deux bêtes se battaient férocement, mais son compagnon finit par être maîtrisé. On le plaquait contre le sol très fermement, et le chien eut beau se tortiller, la seringue se planta dans sa peau et le liquide s'infiltra dans son sang. Puis, les humains le lâchèrent. Aussitôt, il se releva, babines retroussées, bondit sur un humain... et retomba sur le sol avec un bruit sourd en poussant un couinement, comme s'il était surpris par sa propre faiblesse. Il se releva, retomba au sol, ses membres tremblaient et ne lui obéissaient plus. Ses yeux exorbités regardaient tout autour à une vitesse folle, et enfin, son regard se figea, fixé sur le plafond. La vie fuia le corps et son fidèle compagnon devint une masse de poils sans vie. Akah avait regardé ce spectacle sans bouger, incrédule. Non, son ami ne pouvait pas être mort... D'ailleurs, les humains s'apprêtaient à planter la seringue dans son corps. Il voyait la longue aiguille se rapprocher. Et soudain, une rage furieuse lui donna une énergie nouvelle et il bondit, griffa, mordit plus fort que jamais. Sa rage était immense. Ces hommes avaient tués son compagnon! Ce fut le combat le plus violent de sa vie dans lequel il mis le plus d'ardeur, et où il tua même trois hommes et blessa grièvement quatre autres. Enfin, lorsqu'il eut triomphé de ses assaillants, il se dirigea à pas tremblants à cause de ses blessures vers le cadavre. Il refoula ses larmes et se pencha pour lècher le pelage froid de son ami. Et c'est alors que d'autres hommes firent éruption dans la pièce. Ses membres se crispèrent et il prit la fuite. Il trouva la sortie et fut à nouveau libre. Mais il était malheureux. Son ami... Son meilleur ami était mort... Il ne s'autorisa jamais à pleurer, cependant au fond de lui, son chagrin est toujours intact et son ami lui manque. Il passa encore quelques mois à errer librement dans les ruelles, mais il était malheureux au fond de lui même s'il semblait assuré. Cependant, les hommes le capturèrent à nouveau, et voilà maintenant où on le retrouve, dans le chenil de DA et bouillonnant de rage et du désir de liberté. • AIME : La liberté - Dominer - Son meilleur ami - Sa mère - Ses soeurs qu'il souhaite secrètement revoir - La viande - Le goût du sang - Le combat - Nager • AIME PAS : Les hommes - Les enfants humains [ ils sont tellement idiots ] - Être sous-estimé ou méprisé - Les seringues - Être captif - Les longues heures de marche - Les autres chiens en général - Les chaleurs trop fortes
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Dernière édition par *. Akah le Ven 15 Aoû - 6:26, édité 7 fois |
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