Encore ..

Encore une cage ..

Clymens avait fait plusieurs familles, qui n'était pas capable de bien s'occuper de lui ( Si ont pouvait appeler sa des familles ) . Il demandait beaucoup, mais il ce fesait adopté que pour sa beauté, pour être un chien de salon. Son tempérament demandait beaucoup plus qu'un simple chien de salon, il devait pouvoir dépensé son énergie tout les jours.
Sa devait être sa 7 ème famille en 1 an. Il était tellement énervé d'être envoyer un peu partout comme un simple objet. Il avait comprit que cette fois il devrait bien le faire comprendre à la personne qui éssayerait de l'adopté. C'était la première fois qu'il vennait à cette endroit, car les autres familles qu'il avait eu c'était trouvé eu même un adoptant pour Clymens. Mais pas la dernière, il n'avait même pas prit la peine de chercher et sa fesait a peine 3 jours qu'il l'avait. Sa '' famille '' avait appeler la fourrière pour qu'il vienne eu même les débarasser de Clymens.

Arrivé labas, Clymens fut nourris et eu de l'eau. C'était déja mieu que l'ancienne famille ou il n'avait pas été nourris. Les employés l'avaient gardés avec eux, un peu en avant. Ils aimaient tous Clymens, mais encore une fois seulement pour son beau pelage.
Finalement la gérante entra, et emporta Clymens dans sa cage, ou il avait eau, jouet et couverture, il pouvait bougé '' convenablement '' pour une cage. Il ce trouvait chanceux, car la plupars des autres chiens, étaient, dans une trop petite cage. Clymens c'était couchez, mais il commançait a devenir impassiant. Il ce mit a japper tout les 2 secondes. C'était un petit jappe très claire, même agressant pour les orreilles.

Je venais seulement d'arriver, moi, Alessandra Rhodes, à Dogs Agility. On m'avait nommée professeur d'agility. Mais il me fallait tout d'abord aller à la fourrière pour choisir un chien. Beaucoup de pauvres abandonnés étaient là. Beaucoup aussi avaient été adoptés. Mais mon regard fut capté par un petit chien. Je m'approchait. Non, ce n'était pas son pelage qui m'interressait, mais la lueur de ses yeux. Me levant alors, je me dirigeai vers quelqu'un pour demander son nom, et quelques petites choses sur lui. On me répondit qu'il s'appelait Clymens. Quel beau nom pour un toutou pareil !! On me donna quelques indications aussi. Le pauvre chien... Il paraît que Clymens fut adopté plus de sept fois !! Rien que pour sa beauté... Beaucoup de gens font cela... Prendre des chiens magnifique pour en faire des chiens de salon. Mais moi je voyais bien que cet animal avait besoin de se dépenser. M'accroupissant, je restais hors de la cage, puis l'appelait de ma douce voix claire. Ses petits jappements m'amusait. Il ne m'agressait bizarement point les oreilles. Je passais alors un doigt à travers la cage et l'appelais.

- Clymens ! Viens mon beau. Je ne te veux aucun mal...


[Désolée mais je doit surveiller mon chien assez longtemps à cause de son opération. C'est plus court que ce que j'aurais voulu faire]

Clymens entendit la porte de la salle ou les chiens étaient placés à la fourrière. Il regarda, puis c'était une femme, elle était pas très grande. Il la regardait, regardé les autres chiens. Puis soudain elle le regarda et se pencha. Clymens, la regardait dans les yeux se disant ;

* Est-ce que sa serait mon dernier proprio ? *

Puis il la vue se levée et sortir de la salle, il entendait des voies, puis son nom. Il ce demandait bien ce qui ce passait l'autre coté de la salle. Sa tête tournait de droit à gauche pour écouté, mais tout les chiens jappait et s'était très écho ici. Puis elle re-rentra dans la salle, et vennu dirrectement à lui. Il la regardait, ne comprenant pas trop ce qui ce passait. Elle mit sa main dans la cage, et Clymens ne pouvant rien faire, ce mit à tourné en rond dans sa cage, la tête bien haute en jappant. Puis finalement il prit une balle que les employés avait mit dans sa cage, et la mit dans la main de l'humaine qui était la.

* Lance moi la *

Il fixait la balle, mais rien ne se passait, bien évidament c'était impocible pour l'humaine de lui lancé la balle puis quelle ce trouvais l'autre coté de la cage, et lui et la balle à l'intérieur.

Regardant attentivement le manège de Clymens, j'attrapais la balle et l'envoyais dans la direction contraire de lui, qu'il se défoule un peu. Pendant ce temps j'ouvris la porte de la cage. Clymens n'avait pas l'air méchant, au contraire, il avait l'air de vraiment vouloir se défouler. La porte grand ouverte, j'attendit qu'il sorte. Lorsqu'il serait sortit je lui envoierais la balle. Espérons qu'il comprendra ce que j'attends de lui. Disant au gardien que je le prendrais certainement, j'appelais Clymens.

-Clymens !! Viens mon chien on va jouer avec la balle si tu veux !! Allez viens me voir !!

Elle lui apprendrait, ou approfondirais certainement l'agility chez lui. Clymens avait l'air d'avoir une bonne corpulence pour sa race et son âge. Il serait une bête folle.

Quand Clymens vue la porte de sa cage s'ouvrir, il n'attendit pas il prit la fuite !!! Il sortit du plus vite qu'il pu, puis un garde ouvrait la porte de la salle des chiens, il en profita pour ce faufillé sous les jambes de celuis-ci, qui ne pu l'empêcher car il avait les mains pleines par les bols de nourriture des chiens. Il courrait partout en glissant sur les planchés '' frais lavés '' . Tout les employés courrait après lui, personne ne trouvait son circle bien drôle, mais lui ci. Il ne voulais qu'une chose trouvé un issu, ou il pourrais être libre, mais ils étaient environ 4 après lui et les chances qu'il sens sorte était minces.

Soudain, il vue un homme approchez avec un baton, avec une sorte de collier au bout, il avait déja vue sa, la fois que la fourrière était vennu le cherchez. Il devenu fou de rage, et lui montra les cros. Comme de faite Clymens n'était pas un chien à placés entre n'importe quelles mains, il grogna après l'homme jusqu'a temps que les autres humains s'emparent de lui de dos. Clymens ce tourna et mordu un humain au bras. Il commançais à voir flou, un des humains l'avait piqués pour qu'il ce calme un peu.

Je secouais ma tête en signe de désespérence. Lorsque je le vis, je ne lui courus pas après. On s'en chargea pour moi. Mais je vis la méchanceté des gens de la fourrière. Je me précipitais et hurlais :

-STOP !!! ARRETEZ !! VOUS NE COMPRENEZ DONC PAS ?? CE CHIEN A BESOIN DE LIBERTE !! LAISSEZ-LUI EN !! LACHEZ CLYMENS TOUT DE SUITE !!

J'arrachais Clymens des bras des hommes puis lui enfilais temps bien que mal un collier assez serré pour qu'il ne s'échappe pas, mais qui ne l'étranglais pas. Je lui attachais une laisse réglable puis le laissa se défouler. Il tirait s'il voulait, la laisse fesait dix mètres. Je m'accroupis et attendit qu'il vienne me voir. Je ne lui voulais rien, juste le sortir de ces sales draps.

Clymens ce débatais de tout les cotés, il vue la femme qui lui avait ouvert la porte s'approcher avec une laisse rétractable bleu, elle l'attacha. Puis tout les humains se sont collés sur les murs, il ne comprenait rien de ce qui ce passait, tout le monde le regardait avec de gros yeux.
Puis soudain '' BAAG '' la propriétaire du chenil entra très furieuse de ce qui c'était passé, c'était le désastre partout dans le chenil. Elle regarda le chien d'un air très très furieu. Lui qui était sous l'éffet de la piqure de l'humain ne fit rien, et ne comprenait rien de ce qui c'était passé.

- Que quel qu'un m'explique pourquoi c'est tout alenvers ici -

Clymens regardait tout les humains dans la salle, quel que un riait, d'autre n'aussait pas regarder la propriétaire, d'autre regardait Clymens. Puis Clymens ce fit tout petit, il rempa vers l'humaine qui le tennais par la laisse et ce coucha la tête sur ces pieds.
La propriétaire tournait en rond, très fachée elle regarda Clymens, et elle avait comprit qu'il en était la cause.

- Sorter ce chien d'ici, sinon il va dirrectement à l'euthanasie -

Clymens avait déja entendu sa, plusieurs chien lui avait parlez de ce que c'était, un petit bruit sorta de sa gorge. Il ne voulais pas que sa lui arrive, il regardait l'humaine dans les yeux.

* de toute façon maintenant quelle a vue quelle sorte de chien j'était elle ne voudra pas de moi sa c'est certain *

Ce gros bruit... La propriétaire du chenil fit éruption dans la pièce. Enervée à voir, elle engueula tout le monde. Moi je regardait Clymens, ce n'était pas sa faute... Mais la mienne. Oui, c'est toujours la faute de l'homme. Puis je détaillais le visage de la propriétaire. Remontée à ses mots, je lui rétorqua délibérément :

- Si tel est votre choix. Mais je ne laisserais pas une bande d'incapables, qui ne connaissent rien aux chiens, s'occuper de lui ou l'euthanasier. Vous seriez capable de le vendre à la boucherie.

Voyant le petit chien tristounet s'allonger à mes pieds, je le caressais. J'invita ensuite le chien à sortir puis lessais la corde de la laisse s'allonger.

- Vas-y mon beau !! Fait comme chez toi !!

Je pris un batôn puis le lança, espérant qu'il appréciait cela. Ce magnifique chien avait une de ces fougue !! Je me mis à courir avec lui.

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