Arrivée... un peu spéciale [ADOPTEE]

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J'étais dans mon jardin, quand tout à coup, elle vit un truc rouge et qui faisait beaucoup de bruit qui arrivait chez moi. Des gens en blanc sortirent et se dirigèrent dans ma maison. Plus tard, il sortirent, ma maîtresse était allongée sur un brancard blanc avec une croix rouge. Il s'est passé quelques jours sans qu'elle soit là, j'étais triste. Un jour, sa fille Caroline me prit en laisse et me monta dans sa voiture en disant "Je n'ai pas le choix louloute". Moi je ne suis qu'une chienne, je ne pouvais pas comprendre ce qu'elle me disait. Elle s'est garée dans une rue où il n'y avait personne, ma accroché une médaille à mon collier, je crois que dessus il y avait écrit "DESTINY", mon nom. Puis elle vérifia bien que je n'était pas tatouée et m'enleva ma laisse. Puis elle a refermé la portière de sa voiture et à démarré d'un coup et est partie. J'ai traîné dans les rues pour essayer de la retrouver, mais cette ville m'était inconnue, je m'était perdue. Soudain, je vis une fourgonette bleue s'arrêter à côté de moi. Des gendarmes en sortir ouvrir l'arrière de leur cammionette et me montrèrent une gamelle pleine de bonnes croquettes. Etait-ce un piège ? Je m'en fichait. J'ai sauté dans la cammionette et je me suis précipitée vers la gamelle. Ils sont quand même gentil ces gendarmes, il y en a un quyi est venu à l'arrière avec moi et qui m'a caressé pendant tout le trajet. Je les entendait parler de tatouage, puçage et autre et surtout, de PROPRIETAIRE. Je l'avais entendu souvent ce mot là, il me rappelait Jacqueline, la dame chez qui je vivais et qui était partie dans le fourgon rouge. Et puis la cammionette ralentit et nous arrivions ici. Ils m'ont mis une laisse et ont parlé aux employés qui m'ont amenée dans ce terrain cloturé après avoir regardé si il n'y avait pas une adresse sur mon collier. Puis, ils ont appelé le véto, qu'est-ce que je déteste ce moment là ! Il m'afait une piqure à côté de mon cou pour mettre un objet minuscule, une "puce" je crois. Et puis, ils m'ont à nouveau lâché dans ce terrain. Et je m'ennuie, je m'ennuie, et je m'ennuie encore et toujours. J'aboie de temps en temps mais personne ne vient jouer avec moi, je suis triste. Jacqueline me manque.

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[Up, personne ? Sad

]

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[Up, personne veut de moi ???]

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( Je peut ? )

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(Ouiiiiiiiiii bien sûr !)
Et j'étais toujours là, à attendre qu'on vienne me sortir de ce trou, où je m'ennuyais, parfois un humain venait jouer à la balle avec moi, bien que ce soit rare, mais, jamais il ne m'emmenait chez lui. Les bipèdes étaient toujours incompréhensible, par leur language et par leur comportement, ils donnent des envie s à des chiens qui, comme moi, attendent une nouvelle famille. J'étais dans un lieu où je voyais souvent des humains qui jouaient avec mes compagnons quadrupèdes et qui les emmenaient par la suite, mais moi, ceux qui jouaient avec moi, ne m'emmenait jamais chez eux. Il faisait beau, un temps idéal pour jouer et personne ne venait me voir, j'étais là depuis trop longtemps, Jacqueline me manquait et j'attendais que quelqu'un vienne la remplacer pour s'occuper de moi et devenir mon ami(e) pour la vie.

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Tu sais tu est mignone toi !

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Enfin un humain s'intéressait à moi, ce n'était pas trop tôt. Elle me dit une parole que je compris tout de suite tellement mon ancienne propriétaire me l'avait dite à chaque fois que j'allais chez la toiletteuse.
* T'as l'air sympa toi aussi !*
Et pour joindre la parole à la pensée, j'aboyai à la fin de sa phrase. Elle me paraissait bien sympathique et je pensais que je m'entendrais peut-être bien avec elle. Je m'assit sagement devant elle et attendit qu'elle me donne un ordre ou me dise quelque chose. Je la regardais de mon regard le plus intelligent.

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Sa te plait cette chose a manger ? Si oui je t'en donne encore une

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Voilà que cette humaine tendit une friandise avec une odeur bizarre. Je l'attrapai avec méfiance dans la main et je croquai. Tant pis pour l'odeur, le goût était merveilleux. Ca faisait longtemps que je n'avait pas mangé quelque chose d'aussi succulent, ici on ne mangeait que des mélanges de pâtée pour chien et des restes de pâtes que les hopitaux venaient amener après chaque repas. Ce goût me plaisait beaucoup, ça me rappelait le jus de pomme que ma propriétaire mettait parfois dans ma gamelle l'été quand il faisait chaud. Je tendai ma patte à la jeune fille en jappant de plaisir.
* Ca me plaît beaucoup ! Encore une !*

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Roo p'tite gourmande !

Tes trop craquante ! J'ai envis de te serrer dans mes bras et te prendre comme doudou !

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Cette humaine me paraissait bien sympathique mais j'aurais bien aimé mieux la connaître. En tout cas, dès qu'elle me tendis le deuxième bonbon je le mangea rapidement, puis en entendant sa phrase, j'aboyai encore une fois et je posai ma patte sur son genou et posai ma tête dans sa main.
[désow' pas d'inspi]

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( Je repond demain ! Plus d'ispii )

[C'est OK de plus avoir d'inspi mais euh il faut plus de liignes... Razz

Enfin, contente pour toi Destiny I love you

]

[T'inquiète pas, le prochain message de 'Tiny fera dans les 15-20 lignes ! Smile

]

[Ok, j'suis désolé d'interrompre I love you

]

[pas grave, c'est normal de la part d'une modo:heart:]

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Je pourait l'avoir ?

Oui Mademoiselle !

Tu veut venir avec moi Detiny ?

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[faudrait qu'on se connaisse un peu mieux avant en fait, sinon moi je veux bien que tu m'adoptes, mais c'est dans le réglement)
Depuis que j'étais arrivée, je n'avais pas connu le bonheur souvent. Ce lieu était surtout destiné à l'oubli, la tristesse et à la mélancolie plutôt qu'a la joie et la bonne humeur. Chaque fois qu'un chien arrivait, un autre repartait, lorsque ce chien repartait, le chien qui arrivait avait espoir d'être adopté à son tour, mais, au fil des jours qui passent, cet espoir s'amenuisait petit à petit, jusqu'à arriver à néant. Ici, le temps était un ennemi, qui plongeait chaque jour un peu plus le chien dans sa mélancolie, il s'enfermait dans une nuit noire dans une forteresse de tristesse. Mais un jour, un humain venait le voir et un rayon de soleil illuminait le ciel, la porte de la forteresse était ouverte et le chien pouvait s'évader dans la liberté avec son nouveau maître, ou alors se faire renfermer dans la forteresse, se retrouver dans la nuit noire. Enfin, c'était ma version des choses. J'étais une chienne très gentille qui avait été enfermée dans cette forteresse en plein coeur de la nuit noire trop longtemps. Et voilà que le rayon de soleil était apparu et que la porte s'était ouverte. Une humaine m'avait chouchouté et remise sur la route de la joie. Et puis, elle m'avait donné des friandises à la pomme. Je l'avais remercié et elle m'avait changé de collier et de laisse. J'avais compris, je repartait pour une nouvelle vie, dans le jardin de l'arc-en-ciel et du soleil de la joie. Je suivai l'humaine jusque dans sa voiture rouge.

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On va a la mer !

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[Comme tu veux ! ]